Sagesse est le recueil de poèmes de Paul Verlaine, publié en 1880.
I. Bon chevalier masqué qui chevauche en silence…
II. J’avais peiné comme Sisyphe…
III. Qu’en dis-tu, voyageur, des pays et des gares?…
IV. Malheureux ! Tous les dons, la gloire du baptême…
V. Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles…
VI. Ô vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies…
VII. Les faux beaux jours ont lui tout le jour, ma pauvre âme…
VIII. La vie humble aux travaux ennuyeux et faciles…
IX. Sagesse d’un Louis Racine, je t’envie!…
X. Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste!…
XI. Petits amis qui sûtes nous prouver…
XII. Or, vous voici promus, petits amis…
XIII. Prince mort en soldat à cause de la France…
XIV. Vous reviendrez bientôt, les bras pleins de pardons…
XV. On n’offense que Dieu qui seul pardonne. Mais…
XVI. Écoutez la chanson bien douce…
XVII. Les chères mains qui furent miennes…
XVIII. Et j’ai revu l’enfant unique : il m’a semblé…
XIX. Voix de l’Orgueil : un cri puissant comme d’un cor…
XX. L’ennemi se déguise en l’Ennui…
XXI. Va ton chemin sans plus t’inquiéter!…
XXII. Pourquoi triste, ô mon âme…
XXIII. Né l’enfant des grandes villes…
XXIV. L’âme antique était rude et vaine…
I. Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’amour
II. Je ne veux plus aimer que ma mère Marie
III. Vous êtes calme, vous voulez un vœu discret
IV. Mon Dieu m’a dit : Mon fils, il faut m’aimer
III. L’espoir luit comme un brin de paille dans l’étable
IV. Je suis venu, calme orphelin
VI. Le ciel est par-dessus le toit
VIII. Parfums, couleurs, systèmes, lois!
IX. Le son du cor s’afflige vers les bois
X. La tristesse, langueur du corps humain
XII. Vous voilà, vous voilà, pauvres bonnes pensées!
XIII. L’échelonnement des haies
XIV. L’immensité de l’humanité
XVI. La «grande ville». Un tas criard de pierres blanches
XVII. Toutes les amours de la terre
XVIII. Sainte Thérèse veut que la Pauvreté soit