L’Italie ? Elle est dans le train
Extraordinaire qui s’emporte
Même au-delà des flots du Rhin,
Même en-deçà de notre Porte !
L’Autriche, elle est bien bonne là,
Non sans son « laurier » sur son shak’
Ô, la Prusse qu’on consola*
Par telles cessions dont chaque
Est si terrible qu’il ne faut
Aucunement espérer trêve
Ni paix sans reprendre de haut !
Verdun, Toul, Metz, hélas ! et Trêve
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Et quant à ce… gouvernement
Qui prétend garder l’équilibre
En l’occurrence, ou bien il ment
Ou bien la France n’est pas libre !
* D’Iéna et cætera.