À F.-A. Cazals
Grâce à toi je me vois de dos
Et bien plus vraisemblable :
Dans ton croquis, à pas lourdauds,
Je m’en vais droit au diable.
Moi qui, pour la postérité,
Sur une aile céleste
Croyais m’envoler, révolté,
Fatal et tout le reste !
— Je m’achemine doucement,
D’un trot plus ou moins leste.
Attiré par un double aimant,
Vers le diable... ou le reste.