Épigrammes est le recueil de poèmes de Paul Verlaine, publié en 1894.
II. Ce livre est sûr de mal plaire
III. Lourd comme un crapaud, léger comme un oiseau
IV. J’ai fais un vers de dix-sept pieds
V. Mon âge mûr qui me grommelle
VI. Après les chants d’église et les airs militaires
VII. Il ne me faut plus qu’un air de flûte
IX. Être tout de beauté, tout de bonté
X. C’est le conflit, c’est le contact
XI. La ville que Vauban orna d’un beau rempart
XIII. Quand nous irons, si je dois encore la voir
XIV. J’ai beau faire la paix partout
XV. Quand tu me lis une histoire
XVI. Les Salons, où je ne vais plus
XVII. Grâce à toi je me vois le dos
XVIII. Car, après tout, l’amour n’y pensons plus
XIX. C’est la bonté naïve et rude un peu
XX. J’ai fait jadis le coup de poing
XXII. Schopenhauer m’embête un peu
XXV. Sur Un Portrait De Lamartine
XXVI. Sur Un Exemplaire Des « Odes Funambulesque »
XXVII. A Propos d’un des plus beaux vers de Catulle Mendès
XXVIII. Sur Un Exemplaire Des « Fleurs Du Mal »