Поль Верлен — Paul Verlaine

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Поль Верлен. Из книги «Мудрость»

Книга «Мудрость» издана в декабре 1880 года. В ней, в основном, собраны стихи 1874—1877 годов. Сборник состоит из трех частей. Первая часть — это осмысление поэтом своего прошлого; вторая — прямое обращение к Богу; третья — состояние души, вновь обращенной в христианство.

Здесь стихотворения Поля Верлена из этой книги даны в переводах Иннокентия Анненского, Валерия Брюсова, Александра Ревича, Федора Сологуба, Георгия Шенгели, Эллиса, Ариадны Эфрон.

Стихотворения книги «Мудрость» на французском языке можно прочитать здесь.

Полное содержание сборника (на французском языке):

I. Bon chevalier masqué qui chevauche en silence… (пер. Ф. Сологуба, И. Анненского)

II. J’avais peiné comme Sisyphe…

III. Qu’en dis-tu, voyageur, des pays et des gares?… (пер. В. Брюсова)

IV. Malheureux ! Tous les dons, la gloire du baptême…

V. Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles… (пер. Ф. Сологуба)

VI. Ô vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies…

VII. Les faux beaux jours ont lui tout le jour, ma pauvre âme… (пер. В. Брюсова)

VIII. La vie humble aux travaux ennuyeux et faciles… (пер. В. Брюсова, А. Эфрон)

IX. Sagesse d’un Louis Racine, je t’envie!…

X. Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste!…

XI. Petits amis qui sûtes nous prouver…

XII. Or, vous voici promus, petits amis…

XIII. Prince mort en soldat à cause de la France…

XIV. Vous reviendrez bientôt, les bras pleins de pardons…

XV. On n’offense que Dieu qui seul pardonne. Mais…

XVI. Écoutez la chanson bien douce… (пер. Ф. Сологуба)

XVII. Les chères mains qui furent miennes… (пер. Ф. Сологуба)

XVIII. Et j’ai revu l’enfant unique : il m’a semblé…

XIX. Voix de l’Orgueil : un cri puissant comme d’un cor… (пер. В. Брюсова)

XX. L’ennemi se déguise en l’Ennui… (пер. В. Брюсова)

XXI. Va ton chemin sans plus t’inquiéter!…

XXII. Pourquoi triste, ô mon âme… (пер. А. Ревича)

XXIII. Né l’enfant des grandes villes… (пер. Ф. Сологуба)

XXIV. L’âme antique était rude et vaine… (пер. В. Брюсова)


I. Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’amour (пер. В. Брюсова)

II. Je ne veux plus aimer que ma mère Marie

III. Vous êtes calme, vous voulez un vœu discret

IV. Mon Dieu m’a dit : Mon fils, il faut m’aimer (пер. Эллиса: первая часть, вторая часть, третья часть, четвертая часть, пятая часть, шестая часть, седьмая часть, восьмая часть, девятая часть, десятая часть)


I. Désormais le Sage, puni

II. Du fond du grabat

III. L’espoir luit comme un brin de paille dans l’étable (пер. Г. Шенгели)

IV. Je suis venu, calme orphelin (пер. Г. Шенгели)

V. Un grand sommeil noir (пер. Ф. Сологуба, В. Брюсова, П. Петровского)

VI. Le ciel est par-dessus le toit (пер. Ф. Сологуба, В. Брюсова, П. Петровского)

VII. Je ne sais pourquoi

VIII. Parfums, couleurs, systèmes, lois! (пер. В. Брюсова)

IX. Le son du cor s’afflige vers les bois (пер. В. Брюсова)

X. La tristesse, langueur du corps humain

XI. La bise se rue à travers

XII. Vous voilà, vous voilà, pauvres bonnes pensées! (пер. А. Ревича)

XIII. L’échelonnement des haies (пер. А. Эфрон)

XIV. L’immensité de l’humanité (пер. В. Брюсова)

XV. La mer est plus belle (пер. В. Брюсова)

XVI. La «grande ville». Un tas criard de pierres blanches

XVII. Toutes les amours de la terre

XVIII. Sainte Thérèse veut que la Pauvreté soit

XIX. Parisien, mon frère à jamais étonné

XX. C’est la fête du blé, c’est la fête du pain (пер. В. Брюсова)